Résumé :
|
« Les empreintes du regard » s'ouvre sur une forte image de mon pays, la Guinée et celles de mon Coyah natal avec sa rivière Sarinka, sa première école déjà centenaire, Gbalan sa ceinture de montagnes, Kakoulima, sommet culminant chargé de nombreux témoignages passés et présents. Au-delà de ce panorama, le regard se porte sur l'intimité familiale et l'école pour témoigner de l'amour parental et le respect vers les éducateurs, les anciens maîtres d'école. Le regard est également tourné vers la société à travers ses organisations politiques avant et après l'indépendance du pays et les fâcheuses conséquences plombant son décollage économique, qui invitent à repenser notre rapport au monde et entre guinéens.
|